Le bonheur
Chacun vit son propre bonheur, il n'y a pas de hasard dans la vie, tout est écrit.... Le bonheur c'est peut-être aussi apprécier ce qu'on a, tous ces petits plaisirs simples du quotidien, c'est peut-être aussi tout simplement aimer la vie, ...et jouir de chaque instant comme s'il devait être le dernier ... C'est aussi être enthousiasme et positif, croire en soi et n'accorder aux choses que leur véritable valeur, vivre ses émotions sans être dominé par elles, c'est aussi un esprit d'ouverture vers l'autre et d'envies, de désirs .... Il ne nous arrive que ce que l'on craint... On ne trouve pas le bonheur, on le vit, en bon épicurien, on le cultive et on l'entretient... Le bonheur n'est pas forcément lié à la rencontre amoureuse, non plus, après, c'est un autre débat...
Epicure est de notre temps
Épicure est de notre temps.
Fonder sa pensée sur sa logique de la connaissance par les sens.
La sagesse est de s'attacher à connaître des réalités, des certitudes propres à calmer les inquiétudes de l'âme. La sagesse consiste à ne pas se jeter dans des conjonctures angoissantes sur le pourquoi de ce hasard, le pourquoi de cette nécessité. L'exact fondement qui justifierait la conviction et établirait les limites de ce libre arbitre qu'Épicure attribue à l'homme.
En revanche ce que l'homme peut et doit, c'est d'accomplir le voyage d'une façon agréable, dans l'équilibre physique et moral.
La perspective épicurienne du bonheur.
Extrait de la lettre d'Epicure à Mécénée
Même jeune, on ne doit pas hésiter à philosopher !
Ni, même au seuil de la vieillesse, se fatiguer de l'exercice philosophique. Il n'est jamais trop tôt, qui que l'on soit, ni trop tard pour l'assainissement de l'âme. Sont donc appelés à philosopher le jeune comme le vieux. Le second pour que, vieillissant, il reste jeune en biens par l'esprit de gratitude à l'égard du passé. Le premier pour que jeune, il soit aussi un ancien par son sang-froid à l'égard de l'avenir. En définitive, on doit donc se préoccuper de ce qui crée le bonheur, s'il est vrai qu'avec lui nous possédons tout, et que sans lui, nous faisons tout pour l'obtenir.